vendredi 30 octobre 2009

Une réminiscence d'un traumatisme olfactif prend forme à l'ambassade de Chine.


Solution Mister T







J'aime bien à l'occasion aller me perdre dans les délirantes allées de l'Ambassade de Chine! Cette jouissive chaîne de magasins donnent la chance aux mourialais moyens de s'exprimer sur les droits de l'homme en République Populaire de Chine. Wall-Marde en mieux. J'adore y acheter mes croustilles préférées. De plus, j'ai l'impression de déambuler dans un sweat shop chinois. Parlant sueur, aujourd'hui, j'ai été plongé au cœur d'un traumatisme olfactif... Flash te raconte cette pénible aventure.



J'étais dans l'allée pour me procurer mes chips BBQ lorsque ma quiétude olfactive fut perturbée par une violente agression. Une odeur de vieux monsieur qui n'a pas vu d'eau et de savon emplit mes narines. J'y laissai quelques poils de nez. Cette puanteur me rappela Monsieur T. Monsieur T était un locataire qui habitait dans les immeubles où je travaillais pendant mes études. Il troqua ses anti-dépresseurs pour la budweiser qu'il consommait quotidiennement au rythme d'une petite 24. Après quelques mois de consommation, le charmant Monsieur T cessa toutes activités hygiéniques. Une infecte odeur l'enveloppa alors et dès lors l'accompagna en permanence comme un aura malodorant. Ainsi, dans une Ambassade de Chine de l'est de la métropole, mon pauvre nez subit la réincarnation de Mr. T. Comble de malheur et de malchance le petit monsieur empruntait les mêmes allées que ton blogueur favori. Sa puissante effluve embaumait ce prestigieux commerce. Shit happens! Dans la ligne pour payer mon croustillant péché de gourmandise Mr T corrompait mon oxygène. Au bord de l'évanouissement, je décidai de contre-attaquer. Flash Gordon reste toujours combatif! Place à l'attaque flashgordonienne!



Je me mis à éternuer comme un pestiféré. En cette paranoïaque saison de grippe cochonne, mes éternuements étaient un iceberg lancé sur la coque de la paix sociale au Québec. Panique! L'ambassade chinoise se transforma en Titanic! La clientèle quitta la navire sans demander son reste, le personnel l'imita. Seule Canine Dion, braillait dans les haut-parleurs et se prenait pour l'orchestre jouant sur le célèbre paquebot déserté. Malheur! Mr. T n'avait pas peur de la hache-huns-haine-un. En fait, j'ai vu le virus fuir l'odeur de Mr T! Colle toi à Mr T. Imprègne toi de son effroyable parfum! Les virus, comme les êtres humains disparaîtront de ta route. Tu trouveras un Mr T dans toutes les bonnes ambassades chinoises dignes de ce nom. À go on lui fait tous un gros colleux baveux!






p.s. Tu peux remplacer Mr T par un candidat véreux à la mairie de ta municipalité.






samedi 24 octobre 2009

Vive les brutes!



Le lutin a commencé l'école cette année. Le lecteur attentif ce souviendra que le petit s'inquiétait d'être appréciée par les filles. Non seulement il a du succès, mais il 5 amoureuses comme il se plait tant à le dire. Bref, il pourrait aisément accompagner Patrick et les brutes. Le charme du lutin opère! Toutes les filles sont folles de lui! N'imitez pas le lutin, c'est un professionnel! Bon samedi soir!










Le lutin et le vaurien ont de la grande visite!

Ils s’amusent avec l’ahuri.




Ça faisait une mèche que le lutin n'était pas intervenu sur ce blog. Il est de retour et en force! Autopsie d'un samedi.

Chaque fois que nous avons vu l'ahuri cet été, il souhaitait venir dormir chez nous. Or, aucun moment estival ne fut propice à une escapade mourialaise. L'ahuri cachait mal sa déception. Petite parenthèse pour situer le lecteur, l'ahuri est mon neveu, c'est le petit dernier d'une fratrie. En effet, la sœur de Flash Gordon défie les statistiques de natalité, elle a courageusement mis au monde trois beaux garçons. L'ahuri est donc le benjamin de cette tribu. Le lutin et l'ahuri s'entendent à merveille. Ils ont solidement tissé les liens d'une indéfectible amitié. Samedi matin, le très cher cousin du lutin apparut dans notre cuisine, téléporté par sa mère, il nous regardait de ses grands yeux rieurs. En moins de temps qu'il n'en faut pour crier hop là! On se retrouva au parc, où l'incomparable duo s'en donna à cœur joie dans les glissoires et autres modules ludiques. Les rayons du soleil automnal peinaient à nous réchauffer mais nous n'en avions cure, le plaisir de former un trio d'aventurier réchauffait amplement nos âmes. Bin oui! Un trio, Flash Gordon accompagnait joyeusement les deux bambins.


Jouer au parc ça ouvre l'appétit! Vivement de savoureux caca sandwich! Dit allègrement l'ahuri. Suite à ce surprenant et nutritif repas, repus, nous avons essayé de trouver une activité intéressante à faire à Mourial. Ayant toujours en tête de faire œuvre éducative, pédagogique et culturelle, je proposai aux p’tits d’aller au Café Cléopâtre. L’illustre institution recelait une foule d’informations et de surprises pour deux jeunes garçons énergiques. Devant leurs mines déconfites et leurs mous de dégoût, je suggérai, en substitution, une exposition poche de citrouilles ou des animaux en burn-out. À la vue d’une sorcière à grosses citrouilles sur le site du jardin botanique, j’ai eu droit à des cris d’horreur. Mine de rien des citrouilles, ça fout la trouille! Mes deux compagnons s’étaient réfugiés derrière moi. Mon dos offrait une bonne protection contre les sorcières virtuelles. J’éliminai donc la tournée de cucurbitacées orangées. Je soufflai un inaudible et discret : on va voir les animaux. À croire qu’ils ont des oreilles bioniques!

-Ouiiiiiiiiiii! On va voir les animaux! Tous les animaux sont nos amiiiiiiiiiiiiiis! Hurlèrent-ils.

Un tsunami de cris de joies enthousiastes ravagea donc mes pauvres tympans. J’étais tout de même content ça évitait de jouer à roche papier ciseau et à la courte paille.

Le cœur léger, le pas allègre nous marchions vers le Biodôme, Royaume mourialais des animaux sauvages… Flamboyante, fut notre entrée dans l’antre de ce muséum. Le lutin et l’ahuri jubilaient. Ils souriaient en discutant des animaux qu’ils verraient. La préposée au comptoir nous regardait en souriant.

- Quel âge vous avez les gars?

- Moi j’ai 4 ans pis ça c’est mon lutin. Lâcha malicieusement l’ahuri,

- 5 ans! Renchérit le bien désigné lutin,

- 27 ans! Toutes mes dents! Mentis-je à peine en payant notre entrée vers l’activité ludico-éducative de ce beau samedi d’octobre.

Nous entrions dans la forêt tropicale dans une bouffée de chaleur et d’humidité. Heureusement, ce bon vieux Flash avait enlevé les manteaux de ses 2 jeunes padawan. Et là, ce fut le début de la fin de notre visite!

L’ahuri et le lutin partirent en trombe! Euphémisme! Ils décollèrent comme des fusées! Je connais ça! Foi de Flash Gordon! Répète après moi : pipi caca sandwich foune pouette! Le temps de le dire, les deux copains enflammés avaient terminé leur tour du Biodôme. Ils passèrent devant la capybara, sans voir le paresseux et les aras rouges, ils jetèrent un œil aux rainettes, eurent peur des chauves-souris, puis, ils traversèrent rapidement la forêt laurentienne n’étant pas impressionner par le hérisson et les lynx absents, ils s’attardèrent à peine pour saluer l’esturgeon noir, ils accélérèrent le pas de peur de se faire déféquer sur la tête par les mouettes, comble de malheur les manchots mangeaient, les regarder était d’un intérêt quelconque, ils continuèrent leur course! Le lutin et l’ahuri aboutirent à la sortie avec l’estomac dans les talons qu’ils cognaient au sol en brandissant les poings; On a faim! Je leur payais une collation qui fut expédiée quasi aussi vite que la visite…

De retour à la maison, Flash Gordon concocta un de ses légendaires pâté chinois. Inévitable source de réconfort dans la froidure d’un gris automne. Les bambins, fidèles à eux-mêmes firent honneur à ce plat qu’ils aspergeaient généreusement de ketchup. C’était le calme avant la tempête. L’ouragan couvait. En effet, le soir venu, ensemble comme une paire de fesses, mes jeunes compagnons regardèrent le spectaculaire Spider-man. Ils adoraient ce dessin animé malgré qu’ils l’aient regardé plusieurs fois. Il se faisait tard et j’installai les inséparables dans mon grand lit. Après les bisous et bonne nuit d’usage, Flash Gordon se décapsula une rousse bien fraîche. Igloo! Igloo! Igloo! Ça désaltère! Installé devant mon ordinateur, je potassais un texte pour ce blog de merde. Soudain, un son étrange, surnaturel, me troubla. Un hoquet, un bruyant spasme contenant toute la tristesse du monde résonna dans la maisonnée. N’écoutant que mon courage, je débarquai dans la chambre pour défendre mes chérubins contre tous les monstres de l’univers. Couché sur le dos, ses tristes yeux fontaines coulaient, l’ahuri sanglotait.

- Il s’ennuie de sa mère, déclara le lutin.

Je m’approchai de lui et le pris dans mes bras de brute pour le serrer contre moi et le réconforter.

- Venez les gars on va appeler vos mères! Dis-je.

Mauvaise idée. Shit happens too often… Le premier a téléphoné à sa mère. Zut! Elle n’était pas là! Le second rejoint sa mère, pleurant son absence. À la vue de son cousin parlant, sanglotant avec sa génitrice, le lutin éclata à son tour. En chœur, ils braillaient à chaudes larmes. Phoque! J’avais sur les bras deux gars psychanalytiquement en manque de maman. Que faire? Il n’y avait qu’une solution. Boule d’Amour! J’ordonnai une Boule d’Amour. Nous nous blottissions les uns sur les autres. Collés contre moi, ils cessèrent de pleurer. Une Boule d’Amour ça apaise. En les serrant près de mon cœur, je me disais que j’aurais dû imposer mon idée. En effet, si je les avais amenés au Café Cléopâtre nous aurions évité cette déchirure. Devant les belles mamelles d’une danseuse, tout en buvant de la bière, c’est impossible de s’ennuyer de sa mère, au contraire, c’est comme si on la retrouvait!






mercredi 14 octobre 2009

La nausée.

Flash Gordon a la nausée. Écoeuré, il est. La vacuité et nullité de l'automne québécois me donne mal au cœur. Le fascisme mou régnant sur la belle République Démocratique du Québec noue une boule de méchant dans ma gorge. Pays jello incapable d'arrêter de swingner d'un bord pis de l'autre. Incapable de se fixer. Invertébré... Esti! Des moules et des frites. Gens du pays, c'est votre tour!

Elle ne passe jamais son tour, Miss Bêtise Triomphante règne dans les médias, tout comme dans le blogosphère. Propagande pro-vaccin ou anti-vaccin, la H1N1 demeure un épouvantail sympathique à l'approche de l'Halloween. Course à la direction de l'ADQ fait penser à une course à la présidence d'une classe de décrocheurs, les phoques s'en côlissent... Décrocheur pardonne-moi la comparaison! La rentrée automnale comme un avant-goût de Nouëllle dumpe son alléchante offre de produits CULturels. L'Église catholique continue de tremper son pinceau dans les couleurs de l'enfance. Les élections municipales annoncent le chaos et la désolation pour Mourial, presque le goût de crisser mon camp à Labeaumeville... Le conflit au
Journul de Mourial perdure. PKP se frotte les mains en pensant au fric qu'il économise. Il y a une odeur de fin du monde, elle flotte et chatouille mes narines enrhumées.

''Il arriva que le feu prit dans les coulisses d'un théâtre. Le bouffon vint avertir le public. On pensa qu'il faisait de l'esprit et on applaudit; il insista; on rit de plus belle. C'est ainsi, je pense, que périra le monde: dans la joie générale des gens spirituels qui croiront à une farce.''
Sören Kierkegaard


Où sont les bouffons? Que font-ils? Ouate de phoque? En tout cas, moi, m'en vais branler en regardant le feu pogner dans le théâtre... Bon automne!



lundi 12 octobre 2009

C'est l'Action de Graisse!




Phoque la dinde! Vive le gras! Flash Gordon te souhaite une belle Action de Graisse. Vas-y! Vautre toi dans dans la poutine au gras de porc, dévore des tonnes de patates frites, roule toi dans le mauvais cholestérol, plonge ta langue dans un baril de PFGras, joue au cerceau avec des oniongnognes rings, jongle avec des crottes de fromage, abreuve toi d'huile de palme, danse avec des ailes de poulet, grignote des côtelettes, avale ton foie gras, culbute dans la grasse pizza, mange de la tourtière, croque des oreilles de crisse et rends grâce. Oui! Rends grâce aux dieux! Rends grâce aux dieux d'être né ici plutôt qu'au Darfour!



J'ai marché sur l'eau!

Marché sur l'eau! C'est facile! L'eau l'est la vie! Vis! tu marcheras sur l'eau! Syllogisme existentiel! As-tu compris?

samedi 10 octobre 2009

On aime les histoires d'amour...











Hier soir, je suis allé au cinéma voir un beau film d'amour. En effet, Michael Moore a changé de registre. Exit les documentaires satiriques. Vive l'amour! Dans ce cas-ci, l'amour du capitalisme, à tel point que l'on peut voir dans le film les États-Unis donner du pouvoir à des dirigeants de Goldman Sachs. Ainsi, on peut apprécier la crise du capitalisme, mais surtout la pression qu'il exerce sur la démocratie.

Or, cette pression s'exerce ici aussi sous diverse formes. Pensez, à Castonguay qui dirige une commission sur l'avenir du système de santé alors qu'il travaille pour les assureurs, remarquez P-M Johnson à la tête d'une commission d'enquête sur l'effondrement du viaduc à Laval alors qu'il est lié au béton, Flash Gordon pourrait continuer la liste jusqu'à Zampino ou le bon docteur Couillard, mais il me semble que le pervers mouvement du capitaliste sauvage s'épanouit ici aussi. Heureusement, on aime ça, c'est l'amour! Vive le Capital!





vendredi 2 octobre 2009

C'est vendredi: délire, plaisir, écrire.

L'Empire remplit ses coffres en exhibant les poitrines de vedettes sous prétexte d'aider un bonne cause. Parlant, seins et dollars. David Letterman se confesse d'avoir eu des relations sexuelles avec des femmes de son équipe. Il a ensuite coincé un maître-chanteur qui menaçait de raconter l'histoire dans un livre cheap. Le cheapeness règne dans l'Empire. Tentacule de la bête, TVA Publications ne possède pas le monopole des faux prétextes. En effet, notre grand saltimbanque s'envoie en l'air avec des cosmonautes tentant de faire avaler la couleuvre d'un voyage humanitaire. Après tout une grande partie de l'humanité n'a pas accès à de l'eau potable, ça va l'aider en tabarnak que Guy distribue des nez de clown dans l'espace. L'espace d'un instant Flash Gordon profite de l'espace blogosphérique pour cracher sur les trous de cul. Gratuitement. Avec une gratuité semblable teintée de liberté, je tiens à saluer mes amis, mes proches et le Lutin. Flash Gordon vous aime! Amour, amitié, vie et mort. Tout est là! Éros et Thanatos valsent toujours continuant de prouver que la mort fait partie de la vie. Ils dansent sur une chanson de WD-40... Flash te gâte encore! Bonne fin de semaine!
















Flash Gordon n'est pas un toton! Il pose des questions!

À petit loup et aux femmes que j'aime.





Je vais laisser La Clique du Plateau mettre sa tête masquée dans le cul du showbizz québécois, je m'attarderais à une question un peu plus frivole! Pardonne-moi cher lecteur. Je saute dans le vif du sujet. Flash Gordon n'aime pas qu'on le prenne pour un toton! Clin d'œil s'associe à la cause... Des vedettes nues pour le cancer du sein! Vraiment? Ce magazine de l'Empire ne sert que la cause? Ouiiiiiii! C'est évident! Heu... Quelle cause? Le cancer du sein? PKP? Son compte à la caisse populaire?







Bon. Je prends une grande respiration. Je dois rester zen. Peser mes mots. C'est un sujet grave et délicat. C'est pas le temps de jouer avec une chainsaw. Flash Gordon est outré. Clin d'œil fait un numéro spécial pour le cancer du sein, c'est très bien. Cependant, le magazine reste ambigu quand à la somme qu'il offre pour la cause. Est-ce que tout les profits engendrés par ce numéro spécial sont remis aux combattantes de la maladie? On comprend que les revenus de la vente du pendentif conçu par Geneviève Borne vont là
où ils devraient. Ça c'est clair. Ce qui l'est moins, à cause du brouillard quebecorien, quelle part des sommes, dont on parle dans le clip, provienne réellement des profits du magazine. De plus, ce qui me déplaît royalement dans cet exercice, demeure l'utilisation du corps de la femme comme ''un coup de marketing inédit''. Pardon! La chainsaw vient de partir! Depuis, la nuit des temps des gens sans scrupule exploitent le corps de la femme pour faire des coups de marketing! Avec des seins on veut vendre des chars, de la bière, des brassières, des dentiers, des vibrateurs, des tondeuses, des cravates surtout de notaire... Hugu Hefner a même bâti sa fortune en montrant des glandes mammaires à l'Amérique! On repassera donc pour l'inédit! Dans son cas, c'est honnête: what you see is what you get comme on dit dans un mandarin plus qu'approximatif. Pour ce numéro de Clin d'œil c'est moins clair. Je pose la question qui tue, que devrait poser un journaliste professionnel plutôt que de s'attarder aux égos écrasés de la blogosphère. Est-ce que l'Empire a remis tout les profits à la cause? Est-ce que les chanteuses, comédiennes et personnalités publiques savaient qu'il n'y avait que la vente du pendentif qui servait la cause?


Maladroitement, Flash Gordon paraphrase Camus. Est-ce qu'une cause est importante au point de coûter un cheveux à ma mère, à ma sœur? Partant de là, je reformule. Est-ce qu'une cause est importante au point de montrer les seins de ma mère ou de ma sœur? En plus, en y réfléchissant ça permet d'observer l'industrie de la générosité au Québec. Quand un artiste veut que je mange une poitrine de poulet avec de la sauce , de la salade de chou crémeuse et qu'il remet son cachet à un organisme caritatif; qui aide-t-il le plus, la cause ou la rôtisserie? Vive les poitrines! Pourquoi la classe médiatique ne pose pas ces questions? Pourquoi n'y a-t-il pas de reportage sur les profits engrangés sous le couvert de la cause? Pourquoi l'éthique semble absente en ce bas monde même lorsqu'il est temps d'aider son prochain? Est-ce qu'au nom de la cause on berne les gens de part et d'autre qui veulent l'aider? Flash Gordon est-il dans le champ? La Clique du Plateau aurait-elle abordé cet épineux sujet? Y-a-t-il un journaliste qui osera se pencher sur la question?




Commentaire inutile à m'envoyer: Es-tu en tabarnak?