Bon, dans ma course effrénée de haine Nowellienne, j'ai un obstacle de taille: mon fils. Hier soir en se couchant, après avoir soigneusement préparé une collation au Père Noël, le petit animal déclara: Tu sais, papa, c'est le plus beau Noël, c'est ma journée préférée. Ça m'a ébranlé. Malgré, ma haine de cette fête, je ne désire pas la transmettre à ma charmante progéniture. Ce matin, à l'aube (concept que mon fils a réinventé tellement il se lève tôt), il jubilait de bonheur et d'émerveillement devant l'assiette vidée par le Père Noël, il trépignait en déballant ses cadeaux et souriait de joie profonde. Cet instant précis est venu mettre un baume sur ma profonde haine de cette fête débile. Cet enfant réussira-t-il à réconcilier Flash Gordon à Noël? À suivre, à vivre...
Ha! Voilà.
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