Eau bénite et balle d'argent
J'ai passé mes études à me battre contre les estis de vampire à marde de pseudos intellectuels de criss, qui sucent les œuvres littéraires de leur sang dans le seul plaisir de se gargariser avec!
Cette petite plaquette devrait être lue par tout les profs de littérature de la belle République Démocratique du Québec. Ce livre bouscule la conception de la littérature et de l'art que veulent transmettre certaines institutions. C'est d'autant plus intéressant, qu'il s'agit du mea culpa d'un intellectuel qui a participé à la vampirisation de la littérature. Pendant mes études je me sentais comme un extra-terrestre, je ne comprenait pas toujours pourquoi les romans, les nouvelles, les poèmes étaient vidés de leur humanité. Transformée en structure, chosifié, comme on fait des statues des héros. Une statue c'est poche, ça ramasse la marde de pigeon.
La littérature restent, pour moi, des mots devenant sang, sueur, sperme, mais aussi, émotion, sensation, malheur et bonheur. Pour d'autres, elle n'est que structure, paradigme, narrativité, etc... à tel point qu'ils la vident de son humanité. Les vampires lui sucent son sang. Ils se gargarisent avant de l'avaler sans même y goûter, la déguster, la savourer comme il se doit. Pourquoi? Parce qu' ''Une conception étriquée de la littérature, qui la coupe du monde dans lequel on vit, s'est imposée dans l'enseignement, dans la critique et même chez nombre d'écrivains. Le lecteur, lui, cherche de quoi donner du sens à son existence. Et c'est lui qui a raison''(Todorov) Voilà, ils arrivent souvent que les institutions se coupent du monde, je me refuse à ça. Même à l'époque où je fréquentais une auguste université québécoise je travaillais dans le réel loin de la tour d'ivoire ou s'enferment les vampires pour s'adonner à leurs viles besognes...
Résiste, arme toi et combat les vampires! Ne les laisse pas enfermer la littérature dans leur tour d'ivoire ils vont la transformer en boudin pour goule du dimanche... Vas-y! Plonge dans le sang, la sueur et le sperme! Esti! Nous vaincrons!
Cette petite plaquette devrait être lue par tout les profs de littérature de la belle République Démocratique du Québec. Ce livre bouscule la conception de la littérature et de l'art que veulent transmettre certaines institutions. C'est d'autant plus intéressant, qu'il s'agit du mea culpa d'un intellectuel qui a participé à la vampirisation de la littérature. Pendant mes études je me sentais comme un extra-terrestre, je ne comprenait pas toujours pourquoi les romans, les nouvelles, les poèmes étaient vidés de leur humanité. Transformée en structure, chosifié, comme on fait des statues des héros. Une statue c'est poche, ça ramasse la marde de pigeon.
La littérature restent, pour moi, des mots devenant sang, sueur, sperme, mais aussi, émotion, sensation, malheur et bonheur. Pour d'autres, elle n'est que structure, paradigme, narrativité, etc... à tel point qu'ils la vident de son humanité. Les vampires lui sucent son sang. Ils se gargarisent avant de l'avaler sans même y goûter, la déguster, la savourer comme il se doit. Pourquoi? Parce qu' ''Une conception étriquée de la littérature, qui la coupe du monde dans lequel on vit, s'est imposée dans l'enseignement, dans la critique et même chez nombre d'écrivains. Le lecteur, lui, cherche de quoi donner du sens à son existence. Et c'est lui qui a raison''(Todorov) Voilà, ils arrivent souvent que les institutions se coupent du monde, je me refuse à ça. Même à l'époque où je fréquentais une auguste université québécoise je travaillais dans le réel loin de la tour d'ivoire ou s'enferment les vampires pour s'adonner à leurs viles besognes...
Résiste, arme toi et combat les vampires! Ne les laisse pas enfermer la littérature dans leur tour d'ivoire ils vont la transformer en boudin pour goule du dimanche... Vas-y! Plonge dans le sang, la sueur et le sperme! Esti! Nous vaincrons!
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