jeudi 1 octobre 2009

À un jet de Pierre d'humanité.

Dans sa chronique d'hier, Madame Petrowski parlait de Pierre avant Falardeau. Flash Gordon est assez d'accord avec elle. D'autant plus que ma colère éclate régulièrement aussi... Quand tu manges des claques sur la gueule, tu restes toujours un peu en tabarnak. Cependant, elle fait fausse route. Pierre n'était pas que Falardeau. Suffisait de le sortir de ses ornières, l'extirper de son rôle de souverainiste enragé. Ce faisant on retrouvait toute l'humanité de Pierre. Or, c'est bien là le drame. Les médias enferment les gens dans des personnages publiques. Si on a un reproche à faire à Pierre Falardeau, c'est de trop souvent s'être campé dans son personnage. Histoire de retrouver l'humain derrière le personnage je te propose d'aller l'écouter discuter avec un autre Pierre. Vas-y! C'est très intéressant et criant d'humanité, d'un Pierre à l'autre.

7 commentaires:

  1. Ouin... Y a un de ces-deux Pierre-là qui est assez cave merci. Cave au sens littéral.

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  2. Fuck! C'est pas Foglia? Pas pour vrai? J'espère que j'ai mal compris. Si c'est le cas, il y a deux Foglia: celui qui écrit juste et celui qui est capable de dire n'importe quoi...

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  3. Yves Boisvert un «surdoué»; Pierre Dubuc qui appartient à «la race des surdoués»... Don't fucking freak me out!

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  4. Et Petrowski n'est qu'une tarte. Falardeau - même personnage public - «ultranationaliste»? Botcheuse.

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  5. Là tu me fais plaisir.

    Torrieu de torrieu.

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  6. Ton indignation trouve écho chez moi cher Danger, cependant j'avais bien écrit criant d'humanité et non de vérité. ;-) Le pire c'est que Foglia serait probablement avec ce que tu dis de lui! En fait, l'humanité de Falardeau on la retrouve dans son œuvre aussi. Voilà!

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  7. Rafraîchissant ce petit dîner en « tête à tête » des 2 Pierre F….Justement, le 2e n’a pas encore écrit sur la mort du premier ? Même s’il est en Allemagne, il aurait pu.

    Falardeau qui écoute au lieu d’attaquer, d’être sur la défensive, c’est du bonheur ! Je sentais par contre qu’il avait hâte que ça finisse, contrairement à Foglia qui aurait été bon pour quelques heures encore. Falardeau n’a jamais été verbomoteur ! Il y avait quand même un micro, pas vraiment un dîner aux chandelles….  !

    Disons qu’après un peu de vin, les langues se dénouent….Foglia qui dit que ce qu’il écrit c’est de la marde ! Qu’il aurait pu vendre des robes dans une boutique…me semble oui ! Enfin.

    Écouter les deux P.F. parles de chars et de bouffe, de leur famille, de la paternité, se rejoignant souvent dans leurs pensées ou idées, sans animateur verbeux, laissant libre cours à la discussion, c’est du bonbon ça l’intraitable Flash !

    J’en retire une citation de Falardeau : « ma propre génération me déprime parce que je les ai vu s’écraser su leur cul ». Un coup Falardeau parti, il n’en reste plus beaucoup qui ne sont pas assis sur leur « steak ».

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