samedi 10 octobre 2009

On aime les histoires d'amour...











Hier soir, je suis allé au cinéma voir un beau film d'amour. En effet, Michael Moore a changé de registre. Exit les documentaires satiriques. Vive l'amour! Dans ce cas-ci, l'amour du capitalisme, à tel point que l'on peut voir dans le film les États-Unis donner du pouvoir à des dirigeants de Goldman Sachs. Ainsi, on peut apprécier la crise du capitalisme, mais surtout la pression qu'il exerce sur la démocratie.

Or, cette pression s'exerce ici aussi sous diverse formes. Pensez, à Castonguay qui dirige une commission sur l'avenir du système de santé alors qu'il travaille pour les assureurs, remarquez P-M Johnson à la tête d'une commission d'enquête sur l'effondrement du viaduc à Laval alors qu'il est lié au béton, Flash Gordon pourrait continuer la liste jusqu'à Zampino ou le bon docteur Couillard, mais il me semble que le pervers mouvement du capitaliste sauvage s'épanouit ici aussi. Heureusement, on aime ça, c'est l'amour! Vive le Capital!





6 commentaires:

  1. ben, à chaque fois, je me dis qu'il est quand même assez gros, michael moore. aussi.
    fin, c'est peut-être ses hormones. moi, je bouffe comme 4, et je grossis jamais. mais j'ai un pote, suffit qu'il mange une feuille de salade, et il a déjà pris 10 kilos!

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  2. ça dépend toujours avec quoi on accompagne la salade, j'ai remarqué qu'une douzaine de bières peuvent faire l'affaire, mais ça finit par se jeter dans le bide!

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  3. Me demande depuis 10 minutes comment il est possible que je ne sois jamais passé icitte. Stie.

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  4. Faut r'passer on est pas sorteux, pis on est bin ouvert à vos commentaires si vous payez... la bière. Ça rime plus que le cognac. Santé! Stie.

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