vendredi 21 octobre 2011

Quand Jean Charest se prend pour Marlon Brando et que nous sommes la pauvre Maria Shneider.




Personnellement, j'aurais préféré que la fameuse commission d'enquête porte sur un sujet plus brûlant. Il me semble qu'en ces temps d'incertitudes, de marasmes et de décrépitudes morales et sociales, il aurait été préférable que la réflexion porte sur les qualités lubrifiantes de la margarine blanche par rapport au beurre. Ça aurait fait plaisir à la mafia des producteurs laitiers. De plus, j'aurais eu moins l'impression que Jean Charest se prend pour un dévastateur de sphincters. Je dis ça de même, en passant. Qu'en penses-tu, cher et éclairé lecteur?




Ça va donner un autre gros tas de marde. Non?










12 commentaires:

  1. ''De plus, j'aurais eu moins l'impression que Jean Charest se prend pour un dévastateur de sphincters. Je dis ça de même, en passant. Qu'en penses-tu, cher et éclairé lecteur?''

    Que même ''dévastateur de sphincters'' c'est encore un euphémisme.

    On est pas sorti du bois.

    Je bois.

    F.

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  2. J'utilise souvent les euphémismes pour épargner mon lectorat. Sont pas tous solides comme les fins et spirituels! Tu bois, moi aussi, mais, en plus, avec lâcheté, je me branle joyeusement.




    P.

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  3. l'outre avec un singe-parking25 octobre 2011 à 17:26

    moi, je suis plutôt pour voter à gauche, mais à condition qu'on me laisse décider par moi-même. parce que je suis individualiste, car profondément associal, et plutôt par dépi qu'autre chose, mais je n'aime pas qu'on me dise que je suis un con, parce que je le sais déjà assez à l'avance, et que j'y pense tous les jours depuis plus de vingt ans. et ce qui me fait chier, c'est d'entendre dire que je suis égoïste, parce que ça aussi, je le sais. mais l'égoîsme, c'est plus un symptome de réclusion aussi, des fois. pi l'égoïsme de gauche, ça existe, aussi. et d'ailleurs... bref. j'arrête parce que je vais dire des aneries encore plus grosses que ce que je pense "sincèrement" au fond, et qui en revient à peu près à ce qu'un chrétien défroqué pourrait encore se dire à propos du suicide du haut de son matelas de célibataire habillé en black-métalleux aux cheveux mi-longs et rasé depuis 2 jours. avec un goût de tabac dans la bouche évocant la nicotine déteignant sur ses dents jaunes à l'haleine de chose qui pue.

    résultat de mon intervention : une voix en moins pour hollande, une en plus pour bayrou, et 13 en plus pour la nébuleuse nico-marine. du coup, la prochaine fois, je dirai que je voterai FN. mais y'en aurait encore qui trouverait ça drôle. comme le fusil de chasse de patrick deweare...

    adieu!
    bon vent!

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  4. t'es pas con jipi, c'est juste que le bon peuple n'est pas toujours prêt pour ton discours, j'aime l'image du black-métalleux suicidé... probable qu'il écoutait du criss d'Oasis, oublie le FN, fonde la parti rhinocéros français, on a ça ici, ils m'ont sauvé la mise, oublie Dewaere pense plus à Claude François et son grille-pain dans le bain, bizarre, comme aller au lave-auto avec son vibro.


    bise

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  5. jp le nostalgique25 octobre 2011 à 18:44

    c'était vraiment un grille pain ou tu le dis pour déconner ? il prenait son petit déjeuner dans sa baignoire, comme le jeune de gummo d'harmony korine ?

    moi, mon parti, c'était nirvana et les les petites notes crades de kurt cobain sur son calepin ou il ventait les mérites révolutionaires du punk rock autodestructeur d'enfant attardés d'un occident miroitant sa propre agonie dans son foutre ventripotant illuminé de carburateurs diesel aux essences amoniaquées sur un matelas taché de semences de bières tièdes et souffreuteuses. et les mégots, et les bouts d'ongles dans les cendriers, et la peur des filles, et les gens qui se mangent entre eux dehors, avec le klu-klux clan méchant qui rôde la nuit et détruit nos copains de couleurs sortis de l'esclavage, et le blues, et les nuits d'angoisse pour un bruit de portière suspecte sur le parking, dehors, et la vieille mémé folle qui venait dire qu'elle entendait et que je faisais trop de bruit avec la musique alors que je l'écoutais au casque, et qu'elle était donc de mauvaise foi, et avait peut-être peur de mourir toute seule au fond de son appartement sur le sol duquel elle avait alignée des bouts de papier journal, pour pas salir!!

    mais c'est fini, tout ça. aujourd'hui, tout est pourri jusqu'à l'alaska, et il n'est même plus possible de faire pipi sans se faire repérer par un bataillon de marins sadiques en quête de quéquétte sale dans un cyber-bar perdu au fin fond de la steppe thaïlando monarchique!! même les biscottes beurrées n'ont plus le même goût! et ils mettent du valium dans le café pour mieux t'endormir!!!

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  6. C'est pour ça qu'il faut non seulement faire pipi, mais, faire aussi caca. Allez, à go, on coule un bronze.

    1,2,3, GO!


    p.s. évite le café au valium, ça fait péter quand tu dors.

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  7. je sais pas si c'est lié, mais ta dernière réflexion, ça me fait me rappeller que les nuits ou je rêve de mongolfières, ça sent du cul très fort dans la chambre le matin, mais avec une odeur bizarre en plus, comme du tungstène brulé accompagné d'une espèce de pesanteur opaque de l'ambiance, avec des ombres comme de vieux films mais dont les reflets me reviendraient avec des frissons m'évoquant des souvenirs d'autres choses que ces rêves de mongolfières, qui n'auraient étés en fin de compte que des espèces de barrières de fumée masquant d'inclassables scènes encore floues de fantomes délavés sentant les produits pharmaceutiques dans un cliqueti électronique désuet de vieux compteurs sonores... un peu comme dans cette série de sous-marins qui passait avant l'homme de l'atlantide vers 1981, sur antenne 2... je sais pas ce que t'en penses...

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  8. d'ailleurs, la vieille mémé folle, tiens, pendant que j'y repense, elle me parlait toujours d'antoine de saint éxupéry, et voulait toujours me refiler de ses bouquins alors que le seul livre que je devais avoir lu en entier cette année là, c'était shining de stephen king. mais qui te dis que le st exupéry qu'elle me citait dans le verbe en me retenant par la manche de ma veste en daim sur le palier dans le couloir, c'était pas déjà un code qui tentait de me configurer un avenir formaté à la coup de torchon, vu que si je me souviens bien, encore, elle disait qu'elle avait été institutrice en afrique dans les années 30, si tu vois ce que je veux insinuer... comme quoi, les malédictions se chargeraient dans les couloirs d'immeubles aussi, parfois, aussi anodinement qu'un chandail de laine angora posé par inadvertance sur un vieux siège en cuir par une quidam de passage, et dont t'endosserait la lourde responsabilité indélébile juste parce que t'aimerais les poils longs...

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  9. Je vois ce que tu veux dire cependant pour moi, cette odeur me rappelle plus le film Flash Gordon sorti en 1980, mais les barrières de fumée brouille ma mémoire de sorte que je danse avec moi-même en me prenant pour un Billy Idol viril. Tu piges?

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  10. J'aime les poils longs surtout sur ton fion!

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  11. mouais, t'es nul en fait. c'est dommage, parce que t'étais plein de culpabilité à la base.
    tant pis.

    ;)

    http://www.youtube.com/watch?v=v-3MFv436dk

    ça va sinon ?

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  12. flash, t'as un truc à dire pour ta non-défense qui n'intérese que les petioiotes meufs àn culotte qui n'arriveront jamais à la taille 'une seule MARIE?

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