La panique s'emparait de Mourial. La Grande Faucheuse déguisée en grippe gripette assaillait la ville. Or, les centres de vaccination allait fermer. Avec témérité, n'écoutant que mon courage, je décidai d'affronter l'aiguille. Toutes les raisons sont bonnes pour tâter de l'infirmière comme de l'aiguille.
D'un pas allègrement Tom Hanks dedans Forrest Gump, Flash allait au Stade Anale de Mourial. Le sourire aux lèvres j'entrai dans l'enceinte de cette ode à l'éléphant blanc. L'intérieur gris du stade ressemblait à l'intestin grêle d'un géant de béton au côlon irrité et irritable. Je déambulais suivant les flèches noires pointant la zone de piqûre. À l'entrée, je fus accueilli par une jolie infirmière souriante. Je remarquai à peine sa poitrine dénudée tellement son sourire irradiait mon visage de futur vacciné. Quelques mètres plus loin je pris conscience que ses mamelons me pointaient... Sans tenir compte de cette provocation mammaire, je continuais mon pèlerinage vers l'aiguille salvatrice.
Déterminé j'arrivais à une nouvelle étape. Cette fois j'apercevais les seins de l'infirmière, d'autant plus qu'elle m'ordonnait de me dévêtir. Docilement je retirais mes vêtements, elle me poussa dans une douche de Purell. Elle me frottais partout, partout. Il n'y avait pas à dire du Purell dans l'urètre ça chauffait en crisse, surtout lorsqu'on t'astiquait le manche. Une fois bien propre, je remis mes vêtements javellisés, désinfectés, stérilisés, aseptisés par une efficace équipe de nettoyeuses œuvrant le sein au vent. Une nouvelle infirmière à l'opulente poitrine pointue me dirigea vers l'étape où on allait m'expliquer les dangers du putain de vaccin. Selon celle-ci dont les bouts de seins visaient le ciel, ton blogueur préféré risquait des problèmes gastriques comme la combustion spontanée, des crises de convulsions rappelant le bacon frétillant dans un poêlon, l'hypertrophie du gland et/ou du clitoris, l'explosion cérébrale terminait l'inquiétante liste des effets secondaires répertoriés chez les vaccinés. Or, l'infirmière céleste qui me donnait ces terribles informations ne cessait de me faire des clins de seins. En effet, elle clignait du mamelon. C'était très impressionnant. J'étais stupéfait et je peinais à me concentrer sur les vitales informations que libérait sa bouche pulpeuse.
Finalement, je débouchai sur une immense salle grise et moche où œuvraient courageusement une foule de sexys infirmières à la poitrine libre. C'était le paradis des aiguilles et des mamelons pointus. Des dizaines de table s'étendaient dans les entrailles du Stade Anal de Mourial, à chaque table, une princesse de l'injection trônait tout en exhibant fièrement des mamelons à faire damner toutes les grippes de l'univers.
Je m'installai à la table d'une sosie de Marie-Chantale Toutplein. Sa poitrine défiait la gravité, tout comme cet aérien texte. Nul doute que c'était La Reine des vaccineuses, rien de moins pour ton humble serviteur.
- Relevez vot' manche M. Gordon! Ordonna-t-elle
Relevant ma manche mon regard ne se détachait pas de cette incroyable paire de mamelles. Alors que j'imaginai ma bouche sur ses seins, Mme Toutplein pouffa de rire.
- M. Gordon! J'peux pas vous piquer là-dedans dit-elle pointant mon tatouage.
- Heu... Poukoi?!?!?! Dis-je comme pris en flagrant délit de tendresse envers mon anus étoilé.
- Parce que ça serait un sacrilège à l'art du tatouage, lâcha-t-elle ingénue.
- Où d'bord!?!? répliquai-je un tantinet exaspéré par cet obséquieux excès de respect pour l'encrage dermal.
- Ça me prend un beau gros muscle pour piquer, une fesse par exemple, osa-t-elle comme si elle m'avait surpris dans un élan de d'affection pour mon étoile anale
- Awaye! Crisse qu'on en finisse! en retirai-je mon jeans.
Ainsi, mes belles fesses vierges dénudées voguèrent dans une mer de mamelons, comme béluga dans un banc de requins assoiffés de sang pur. Du coin de l'œil, malgré sa forte présence mammaire, j'aperçus Mme Toutplein mettre des gants de latex mauve. Je me disais que je voulais un vaccin pas un examen de la prostate. Finalement, elle empoigna un seringue avec une grosse aiguille. Penché devant elle, j'étais vulnérable comme un cow-boy de Barebaback-fucking -montain...
- Regarde moi dans les yeux, je suis non-négociable, me chanta Mme Toutplein, on prend une grande respiration, ça va piquer un peu...
La tête entre les jambes, pour la première fois de ma vie, je vis mes fesses sans utiliser de miroir, d'un œil je plongeai mon regard dans celui de Mme Toutplein alors que son imposante et violente aiguille s'enfonçait dans ma chaire, de mon autre œil je caressai ses majestueux seins. Les yeux écarquillés je sentais la douleur irradiée ma fesse...
-As-tu finis de me checker les boules! cria ma bourreau en appuyant sur le piston de la seringue. J'aurais du me méfier, l'adjuvant au mercure me chauffait le cul! Je tombai à la renverse culbutant sur moi même, à la manière d'un Alexandre Despaties handicapé. Évanoui. Je repris mes esprits alors qu'au dessus de mon visage planait une foule de mamelons. Ceux de Mme Toutplein pointant plus que les autres, j'eus le souffrant souvenir de m'être fait piquer dans la fesse. Suite à ce violent choc, on me transféra dans une aire de repos où l'on vérifiait les effets secondaires de la piqûre. On devait y attendre une quinzaine de minutes. C'est là, que j'ai crié comme un Mel Gibson dans BraveFart: Freedom! Free the tits! Dans un élan de féminisme post-vaccin, je criai liberté pour les mamelons, tout en hurlant à la liberté, je me remémorai cette grande citation de Jules Crétin: Venin, Vaccin, Vulcain...
D'un pas allègrement Tom Hanks dedans Forrest Gump, Flash allait au Stade Anale de Mourial. Le sourire aux lèvres j'entrai dans l'enceinte de cette ode à l'éléphant blanc. L'intérieur gris du stade ressemblait à l'intestin grêle d'un géant de béton au côlon irrité et irritable. Je déambulais suivant les flèches noires pointant la zone de piqûre. À l'entrée, je fus accueilli par une jolie infirmière souriante. Je remarquai à peine sa poitrine dénudée tellement son sourire irradiait mon visage de futur vacciné. Quelques mètres plus loin je pris conscience que ses mamelons me pointaient... Sans tenir compte de cette provocation mammaire, je continuais mon pèlerinage vers l'aiguille salvatrice.
Déterminé j'arrivais à une nouvelle étape. Cette fois j'apercevais les seins de l'infirmière, d'autant plus qu'elle m'ordonnait de me dévêtir. Docilement je retirais mes vêtements, elle me poussa dans une douche de Purell. Elle me frottais partout, partout. Il n'y avait pas à dire du Purell dans l'urètre ça chauffait en crisse, surtout lorsqu'on t'astiquait le manche. Une fois bien propre, je remis mes vêtements javellisés, désinfectés, stérilisés, aseptisés par une efficace équipe de nettoyeuses œuvrant le sein au vent. Une nouvelle infirmière à l'opulente poitrine pointue me dirigea vers l'étape où on allait m'expliquer les dangers du putain de vaccin. Selon celle-ci dont les bouts de seins visaient le ciel, ton blogueur préféré risquait des problèmes gastriques comme la combustion spontanée, des crises de convulsions rappelant le bacon frétillant dans un poêlon, l'hypertrophie du gland et/ou du clitoris, l'explosion cérébrale terminait l'inquiétante liste des effets secondaires répertoriés chez les vaccinés. Or, l'infirmière céleste qui me donnait ces terribles informations ne cessait de me faire des clins de seins. En effet, elle clignait du mamelon. C'était très impressionnant. J'étais stupéfait et je peinais à me concentrer sur les vitales informations que libérait sa bouche pulpeuse.
Finalement, je débouchai sur une immense salle grise et moche où œuvraient courageusement une foule de sexys infirmières à la poitrine libre. C'était le paradis des aiguilles et des mamelons pointus. Des dizaines de table s'étendaient dans les entrailles du Stade Anal de Mourial, à chaque table, une princesse de l'injection trônait tout en exhibant fièrement des mamelons à faire damner toutes les grippes de l'univers.
Je m'installai à la table d'une sosie de Marie-Chantale Toutplein. Sa poitrine défiait la gravité, tout comme cet aérien texte. Nul doute que c'était La Reine des vaccineuses, rien de moins pour ton humble serviteur.
- Relevez vot' manche M. Gordon! Ordonna-t-elle
Relevant ma manche mon regard ne se détachait pas de cette incroyable paire de mamelles. Alors que j'imaginai ma bouche sur ses seins, Mme Toutplein pouffa de rire.
- M. Gordon! J'peux pas vous piquer là-dedans dit-elle pointant mon tatouage.
- Heu... Poukoi?!?!?! Dis-je comme pris en flagrant délit de tendresse envers mon anus étoilé.
- Parce que ça serait un sacrilège à l'art du tatouage, lâcha-t-elle ingénue.
- Où d'bord!?!? répliquai-je un tantinet exaspéré par cet obséquieux excès de respect pour l'encrage dermal.
- Ça me prend un beau gros muscle pour piquer, une fesse par exemple, osa-t-elle comme si elle m'avait surpris dans un élan de d'affection pour mon étoile anale
- Awaye! Crisse qu'on en finisse! en retirai-je mon jeans.
Ainsi, mes belles fesses vierges dénudées voguèrent dans une mer de mamelons, comme béluga dans un banc de requins assoiffés de sang pur. Du coin de l'œil, malgré sa forte présence mammaire, j'aperçus Mme Toutplein mettre des gants de latex mauve. Je me disais que je voulais un vaccin pas un examen de la prostate. Finalement, elle empoigna un seringue avec une grosse aiguille. Penché devant elle, j'étais vulnérable comme un cow-boy de Barebaback-fucking -montain...
- Regarde moi dans les yeux, je suis non-négociable, me chanta Mme Toutplein, on prend une grande respiration, ça va piquer un peu...
La tête entre les jambes, pour la première fois de ma vie, je vis mes fesses sans utiliser de miroir, d'un œil je plongeai mon regard dans celui de Mme Toutplein alors que son imposante et violente aiguille s'enfonçait dans ma chaire, de mon autre œil je caressai ses majestueux seins. Les yeux écarquillés je sentais la douleur irradiée ma fesse...
-As-tu finis de me checker les boules! cria ma bourreau en appuyant sur le piston de la seringue. J'aurais du me méfier, l'adjuvant au mercure me chauffait le cul! Je tombai à la renverse culbutant sur moi même, à la manière d'un Alexandre Despaties handicapé. Évanoui. Je repris mes esprits alors qu'au dessus de mon visage planait une foule de mamelons. Ceux de Mme Toutplein pointant plus que les autres, j'eus le souffrant souvenir de m'être fait piquer dans la fesse. Suite à ce violent choc, on me transféra dans une aire de repos où l'on vérifiait les effets secondaires de la piqûre. On devait y attendre une quinzaine de minutes. C'est là, que j'ai crié comme un Mel Gibson dans BraveFart: Freedom! Free the tits! Dans un élan de féminisme post-vaccin, je criai liberté pour les mamelons, tout en hurlant à la liberté, je me remémorai cette grande citation de Jules Crétin: Venin, Vaccin, Vulcain...
ça se passe vraiment comme ça ?
RépondreSupprimerj'avoue que ça remet en question toutes mes idées sur la chose.
après tout, hein, les effets secondaires, hein ?
(merci pour ta référence in extremis à ce cher bon vieux spock dans ton dernier mot juste avant les trois petits points. il me dit de te dire qu'il n'a pas vraiment saisi l'utilité de la chose, mais qu'il allait méditer sur la question.)
Qu'est-ce qui te fait croire que je faisais allusion à ce bon vieux Spock?
RépondreSupprimerje viens de te le dire!
RépondreSupprimer(par exemple, t'aurais pu finir par un truc comme "canon, camion, klingon", mais non. t'as choisi cette autre solution. me dis pas que c'est le hasard, hein!!)
t'as le bonjour de valery-giscard d'estaing, aussi, il te remercie pour ta publicité gratuite pour son parc d'attraction et de loisirs
J'aurais pu finir aussi avec veni, vidi, vici... valery-giscard d,estaing peut aller se faire cuire un œuf et se le mettre au cul.
RépondreSupprimerbise
p.s. jipi j'aime bien ton nouveau pseudo!
c'est pas gentil pour valery
RépondreSupprimeril est vieux
et joue très bien de l'accordéon
puis à propos d'oeufs dans le cul, tiens :
http://www.youtube.com/watch?v=OE2TDP0-JGQ
bonne soirée, sale punk!
"hippies are cool, punks are sad", (sexton ming)
allé, j'arrête les niaiseries (si c'est encore possible)
à la prochaine
peace
un sale punk de merde m'a dit un jour cette parole d'évangile: ''never trust a hippie!''
RépondreSupprimerl'accordéon c'est bon, mais bon...
tiens! tu l'as dans l'œuf! chasseur de têtes!
http://www.youtube.com/watch?v=44SZ_9_modg
give shit a chance
bise à bientôt
"give shit a chance", de toute façon, je vois pas comment on pourrait faire sens. (a)
RépondreSupprimer"chasseur de têtes", très exagéré.
un jour, quelqu'un a dû me dire un truc sur les punks, mais je me souviens plus. toute façon "les punks", ça évoque sûrement quelque chose, mais quoi ?
je suis un intellectuel, tu crois ?
je fume trop.
on s'en fout de ma vie..
un robot, ça a mal quand ça se cogne le petit orteil contre un meuble ?
pas de poaime
pas de problème
pas de désir
pas de raison valable
si je dépense pas mes sous de mon vivant, une fois mort, ils s'en chargeront
ce qui fait chier, c'est le diabète, faudrait que je marche, mais des fois, marcher, aussi, c'est chiant
vais me coucher
bise
RépondreSupprimerbonne nuit
flash gordon a été transformé en robot
comme dirait houellebecq à tout le monde en parle en regardant sardoniquement clotilde coureau :
RépondreSupprimer"ayeeeez confiaaaance"
voilà, soyons désinvolte!
RépondreSupprimerlache nous une toune d'amour, voir si t'es capab!
RépondreSupprimerQuelle histoire!
RépondreSupprimerTu m'as donné des sueurs de toutes les températures. (Des aisselles, sub-linguale, rectale, redhead fatale...)
hé, flash!
RépondreSupprimerchuis à deux doigts d'être malheureux, là.
si tu pouvais dire à ta soeur que je suis amoureux d'elle, ça me rendrait un sacré service. j'ai même acheté du jack daniels!
mais je voudrais pas me la mettre à dos, en l'énervant à force de gérémiades.. alors si tu pouvais aller te plaindre auprès d'elle à ma place..
te laisse même un lien en échange :
http://frog2000.blogspot.com/2009/08/68-comeback-bridge-too-fuckin-far.html
c'est l'album que je m'écoute en ce moment. et sur le dernier article de ce blog, ils parlent de captain america.
pourquoi pas vous frencher vous deux là, me semble que ça vous ferait du bien.
RépondreSupprimerC'est bien beau la désinvolture mais parfois faut ce qui faut !
Et moi j'dis qu'un bon french calmerait vos esprits de sales punk :)
ouais.
RépondreSupprimerécoute ça plutôt!!!;,
çàa arrache
http://www.youtube.com/watch?v=SbpVQtN7AQI
@Danger, Merci, comme aime le dire Miss Univers 2009: ''il fait chaud j'ai la langue toute trempe!''
RépondreSupprimer@rainette, je rêve de frencher cousin machin, je le frencherais en français sous une pleine lune alors que les loups-garous et les zombies hurlent à en emplir le ciel d'étoile
@ jipi, écoute ma poule je te prépare une belle chanson d'amour... pour ce qui est de ma sœur, je peux essayer de lui parler de toi, mais, est-ce que ta mère est au courant de ta démarche amoureuse?
c'est moi sa mère ! Ayoye !!!! ahouuuuu !
RépondreSupprimer(t'as oublier frencher cousin machin dans tes plaisirs, le tag de Danger, ton alter ego moujajaja