lundi 16 novembre 2009

Crisse de grippe!




Ma paternité a la grippe H1N1, mon hétérosexualité tousse, ma virilité morve, j'éternue ma lassitude à la face de ce monde. Les factures virales se propagent plus rapidement que les paiements vaccins. Les oiseaux ont la grippe. Les enfants grippés se roulent dans leur jus nasal. Les punk grippent le crisse de virus. Le virus est grippe. Ma sœur est grippe. Ma mère est grippe. Ton frère est grippe. Ton père est grippe. Le Québec est grippe. Tout est grippe! Grippe un jour, grippe toujours...


Je me crache dans les mains et ne compte pas les laver... Sais-tu ce que tu peux faire avec ton Purell?







Stu clair? Veux-tu serrer la main de Flash Gordon?




11 commentaires:

  1. Yah. Marrant, j'ai la même toune programmée pour dans kek jours sur le site de BFP.
    C'est dans l'aaaair !
    :0)

    RépondreSupprimer
  2. ce qui me fait plutot rire avec cette grippe c'est combien les gens se rebellent, en ont marre d'en entendre parler, de se faire dire quoi faire comme à un peuple d'arrièrés.
    Mais chaque année on nous répète la même chose, on a des petits dessins pour nous expliquer comment se laver les mains et de se tousser dans le coude.
    Il est où le problème?
    C'est tout du pareil au même!

    RépondreSupprimer
  3. tsé, je comprends pas les paroles, jamais compris les paroles, mis à part "fuck you i won't do what you told me", en boite de nuit à l'époque, c'était l'apothéose avant d'aller gerber dans les chiottes des filles en faisant comme si je me rendais pas compte et que j'étais trop bourré pour faire la différence, rien que pour emmerder les petites pétasses de ma présence de zombi surréaliste. un peu comme en écoutant iggy et les stooges.

    (ton anus mignon)

    pour memoiré :

    http://www.youtube.com/watch?v=8bX275Crxxc

    RépondreSupprimer
  4. me sens en esprit navré par les accoudoirs, personne à qui parler, que des gens avec des boulots et des amis. j'erre au milieu de cette faune en quête d'un félé qui vient pas. tss! y'a du temps à perdre alors je recommande, et le patron commence à me regarder d'un mauvais oeil vu que je commence à faire des blagues comme "il marche à la chambre à gaz ton percolateur, simone ?", mais ça va, c'est midi, les gens mangent, les serveurs s'agitent en état de service maximum-rendement. je regarde la rue dehors, et je vois un chien qui passe sur le trottoir d'en face, sans laisse. un gros sourire illumine ma face béate d'accomplit de l'instant parfait.
    "héhé, tit frère", je me rumine dans la tête en me mentant à moi-même.

    RépondreSupprimer
  5. Hep! Garçon! Une bière pression pour jipis!

    RépondreSupprimer
  6. yesh!!!

    la galerie qui rigole, je l'emmerde, d'abord!!!
    "hahahahhahaha!" répond le peuple.
    MAIS? MAIS§§ Mais!!!!!! vous êtes le peuple, mais vous vous prenez pour KI ????

    - hahahahahahaha!!!!!

    mais je veux de l'amour, ma petite douceur et un boulot, un frigo, des nèfles, mais au milieu de VOUS, comment pourrais-je m'accepter avec ma meuf ???

    - y croit qu'on va lui piquer sa meuf!
    - tuparles d'un taré!
    - ouais, en plus elle st moche!!

    alors jp dit :
    - t'es trèèèèès bien entendu parler, tit conar de merde!! chuis la réincarnation de gg allin, tite merde! kesse tu crois que t'es unique??? hahahha!

    pi y'a une une panne dé'lectricité, les micros marchaient plus.

    bref

    RépondreSupprimer
  7. Les micros marchaient plus alors on s'est mis à gueuler plus fort que le brouhaha du peuple. Pendant que le sosie de gg allin se glissait un ampli dans le cul le courant électrique signe du destin vint électrocuté son anus.


    bref

    RépondreSupprimer
  8. pi y'avait des lumières dans ses yeux d'électrokuté en puissance, grace à golfech///

    pi le sentiment bas s'abbatit
    "fini de rigoler", y disait
    "regardez-vous donc" y disait

    tout le monde s'abbatit sur soi-m^me

    "mais kesk'on afait, comment on en est arrivé la vraiment, nouzotre, vec tout ces..."

    pi y'ut une flatulence, un instant d'espace indécis, ou tout le monde se retrouvait (en fait c'était la reprogrammation générale des cerveaux via sattellites), une pause.

    comme pris dans la continuation de cet arrêt, vec une erreur dans le bidule, le monde recommença à errer

    dans la cellule des flics qui mangeaient des sandwich et en donnaient aux bergers allemands, y'u tune voix :

    - bon, ça a bien marché les gars, sur à peu pr^t tous les cions de la planàte, on est régalés en osmose de manière à peu près général!

    y'ut un grand souffle de soulagement dans la base. sandra gordon dit, vec son recul que tout le monde respectait :

    "voilà. c'est fait."

    tain. on gobait, tout et n'importe quoi, mais la, on savait pas très bien ce ki s'était passé exactement sur le système solaire, mais si sandra était d'accord, c'est que ça allait.

    nan ?

    RépondreSupprimer
  9. ce qu'on oublie trop souvent de dire, c'est que ce morceau est à chier

    bise

    RépondreSupprimer
  10. il avait retrouvé sa place
    parmis les rebus
    tout seul

    il redévissa le bouchon en haut de la bouteille et pensa :
    "je suis bas, mais au moins, chuis honnête et entier!!"

    tout était affaire d'équilibre, et de déséquilibre, à la chaine, comme des maillons, et ces histoires de "coeur", de "heart", comme disaient les gibis, c'était vraiment pas fait pour les shadoks.
    sur quoi, il tomba le bouchon dévissé d'en haut de la bouteille par-terre, et en essayant de le rattraper au vol, se déversa honteusement un peu de sa contenance (à la bouteille) sur le pantalon de jogging gris qu'il portait en permanence dans sa chambre aux odeurs de cafards écrasés et de cendres de clopes irisant les murs ternes de stériles marbrures sombres.

    ce fut froid jusque dans son slip.
    sur quoi, il ne laissa pas tomber pour autant!

    RépondreSupprimer
  11. kesse tu penses de ça sincèrement, hein ?

    http://www.youtube.com/watch?v=nzMiBtXmkzY

    je veux pas résister, mébon, ça foutr la merderrr NAN ?

    RépondreSupprimer