jeudi 19 mai 2011

Sans sauter le coq pis l'âne, tout en risquant de pogner le tétanos sur un clou rouillé de neuf pouces.

On est tellement mieux plus près et prêt!









Qu'en penses-tu?

6 commentaires:

  1. Euh... Ché pas si ça compte, mais j'ai déjà sauté un canard. D'âne, non, ni de coq.

    RépondreSupprimer
  2. Ah, non, je peux pas honnêtement prétendre qu'il m'avait l'air à filer lucky.

    RépondreSupprimer
  3. Pauvre tite bête! J'espère que Brigitte Bardot rappliquera pas pour venir à sa défense! ;-)

    RépondreSupprimer
  4. I'm afraid she'd be a bit late. Presque aussi en retard que pour mettre un terme à la chasse aux blanchons.

    Le seul attrait de forniquer avec un canard, c'est de lui rompre le cou au moment critique, les trente secondes qui suivent transmettant spasmes, vibrations et convulsions à l'organe récepteur. Ensuite on fume une cigarette, on pèle deux oranges et on plume le canard. Ça nourrit facilement deux personnes. Moi, j'avais convié une chroniqueuse du Devoir avec qui j'étais en froid à partager mon repas, histoire de faire la paix. Chaque bouchée lui arrachait un gémissement de plaisir tant elle trouvait ça bon. Pas pour me vanter, mais c'est vrai qu'il est bon, mon canard à l'orange.

    RépondreSupprimer
  5. Ta recette convie aussi Éros et Thanatos dans le même palmipède, il ne fait aucun doute qu'il doit être succulent. Je t'imagine en train d'expliquer ta technique à l'émission de Di Stasio, il me semble que ça donnerait une nouvelle profondeur à l'émission...

    RépondreSupprimer