Ton blogueur préféré est en état de choc. Liz a passé l'arme à gauche! La Grande Faucheuse est venue la cueillir. Elle est sortie les pieds devant. Elle est partie pour le grand voyage. Elle est allée rejoindre ses amis, les ''dernières grandes stars'' d'Hollywood Rock Hudson, James Dean, Richard Burton et Marlon Brando...
Je suis en deuil, je dois te raconter pourquoi. J'ai vécu une torride relation platonique avec Élizabeth Taylor. Tu sais, cher lecteur cultivé et allumé, qu'Élizabeth Taylor s'est mariée à Richard Burton à Montréal au très chic Ritz-Carlton... j'y étais bus-boy à l'époque. Donc, le jour de cette très médiatisée union, elle a succombé à mes charmes et vice versa.
C'était à la fin de la réception suivant leur scandaleux mariage. Les derniers fêtards soûls s'accrochaient au bar, Pierre Nadeau jouait avec son micro et Joël Denis dansait le Ya-Ya avec Richard Burton. Pendant ce temps, les Jaguars rangeaient leurs instruments de musique et moi je ramassais les verres vides et sales dans une salle de bal salement vide, même les lustres de cristal en avaient perdu leur lustre... Elle était assise à la table d'honneur et elle sirotait une crème de menthe verte. Son regard violet voguait dans le vague des volutes d'une fin de soirée enfumée qui se dissipait comme un glaçon fondant dans un verre de crème de menthe verte dans un hôtel montréalais en 1964. Je la regardai, elle était belle comme Cléopâtre, mais en mieux. Nos regards se mêlèrent, pigments sur une toile de Franz Marc, le violet cléopâtrien rencontra le bleu gordonien, dans cette valse des couleurs jaillit l'éclair d'un coup de foudre qui illumine encore le cœur du blogueur de ton cœur.
Elle me fit signe de la suivre, je m'exécutai. Richard déhanchait son popotin toujours aux côtés d'un ivre Joël. Pierre, le micro à la main, vidait les fonds verres. Les Jaguars avaient disparu sans une fausse note.
Je retrouvai Élizabeth dans la salle de bain des dames. Elle ne cessait de répéter '' Come with me Honey''. Honey!?!?!?!?? Comment savait-elle que je goûtais le miel, le miel de trèfle puisque j'ai des racines irlandaises. Elle ne m'avait pourtant pas encore prise en bouche. Qui le lui avait dit? Alors que ces questions se bousculaient dans me petite tête elle se retourna brusquement. Elle plongea violemment son regard violet dans le bleu de mes yeux, puis sans crier rhododendron, elle m'embrassa passionnément, je lui rendis son baiser avec la même ardeur, sa langue goûtait la menthe, ses seins s'écrasaient contre ma poitrine ce qui fit gonfler mon membre mielleux. Sentant cette protubérance, Élizabeth tâta le morceau en me regardant toujours dans les yeux. La question est de savoir qui a aimé le premier dit-elle sensuellement. C'est moi dis-je sincèrement. Une vie nouvelle va commencer... Elle fut coupé dans son discours par les cris de Richard: LIZ! LIZ! WHERE THE FUCK ARE YOU? À la vitesse de la fermeture éclair, mon bel amour d'actrice américaine disparut. Je me retrouvai seul dans les toilettes des dames. Une odeur de naphtaline flottait, elle se mélangeait au parfum d'Élizabeth et à son haleine mentholée.
Je terminai mon quart de travail, le cœur gros, la larme à l’œil, un goût de menthe à la bouche et à l'âme. Je ramassai les derniers verres, je passai le balai et rentrai chez moi. À partir de cette nuit-là, je ne cessai de rêver à la bouche d'Élizabeth. Je chéris chacune de ses lettres d'amour où elle joua du ''honey''. Notre relation épistolaire permit à notre passion réciproque d'enflammer le platonisme de cette improbable relation secrète à distance, comme quoi la passion ne réside pas que dans la rencontre de deux corps... Tu l'auras compris cher perspicace et vif lecteur, je n'ai jamais revu la Cléopâtre de mon cœur... Élizabeth à jamais pour toujours, je t'ai aimé, je t'aime et t'aimerai.
Pardonne moi! Je t'embrasse!
P.S. Remarque que l'on parle toujours subtilement de moi dans tous les reportages sur Élizabeth, surtout les vieux où il est question de ses amours. Ouvre l’œil, tu y verras Flash Gordon
Je suis en deuil, je dois te raconter pourquoi. J'ai vécu une torride relation platonique avec Élizabeth Taylor. Tu sais, cher lecteur cultivé et allumé, qu'Élizabeth Taylor s'est mariée à Richard Burton à Montréal au très chic Ritz-Carlton... j'y étais bus-boy à l'époque. Donc, le jour de cette très médiatisée union, elle a succombé à mes charmes et vice versa.
C'était à la fin de la réception suivant leur scandaleux mariage. Les derniers fêtards soûls s'accrochaient au bar, Pierre Nadeau jouait avec son micro et Joël Denis dansait le Ya-Ya avec Richard Burton. Pendant ce temps, les Jaguars rangeaient leurs instruments de musique et moi je ramassais les verres vides et sales dans une salle de bal salement vide, même les lustres de cristal en avaient perdu leur lustre... Elle était assise à la table d'honneur et elle sirotait une crème de menthe verte. Son regard violet voguait dans le vague des volutes d'une fin de soirée enfumée qui se dissipait comme un glaçon fondant dans un verre de crème de menthe verte dans un hôtel montréalais en 1964. Je la regardai, elle était belle comme Cléopâtre, mais en mieux. Nos regards se mêlèrent, pigments sur une toile de Franz Marc, le violet cléopâtrien rencontra le bleu gordonien, dans cette valse des couleurs jaillit l'éclair d'un coup de foudre qui illumine encore le cœur du blogueur de ton cœur.
Elle me fit signe de la suivre, je m'exécutai. Richard déhanchait son popotin toujours aux côtés d'un ivre Joël. Pierre, le micro à la main, vidait les fonds verres. Les Jaguars avaient disparu sans une fausse note.
Je retrouvai Élizabeth dans la salle de bain des dames. Elle ne cessait de répéter '' Come with me Honey''. Honey!?!?!?!?? Comment savait-elle que je goûtais le miel, le miel de trèfle puisque j'ai des racines irlandaises. Elle ne m'avait pourtant pas encore prise en bouche. Qui le lui avait dit? Alors que ces questions se bousculaient dans me petite tête elle se retourna brusquement. Elle plongea violemment son regard violet dans le bleu de mes yeux, puis sans crier rhododendron, elle m'embrassa passionnément, je lui rendis son baiser avec la même ardeur, sa langue goûtait la menthe, ses seins s'écrasaient contre ma poitrine ce qui fit gonfler mon membre mielleux. Sentant cette protubérance, Élizabeth tâta le morceau en me regardant toujours dans les yeux. La question est de savoir qui a aimé le premier dit-elle sensuellement. C'est moi dis-je sincèrement. Une vie nouvelle va commencer... Elle fut coupé dans son discours par les cris de Richard: LIZ! LIZ! WHERE THE FUCK ARE YOU? À la vitesse de la fermeture éclair, mon bel amour d'actrice américaine disparut. Je me retrouvai seul dans les toilettes des dames. Une odeur de naphtaline flottait, elle se mélangeait au parfum d'Élizabeth et à son haleine mentholée.
Je terminai mon quart de travail, le cœur gros, la larme à l’œil, un goût de menthe à la bouche et à l'âme. Je ramassai les derniers verres, je passai le balai et rentrai chez moi. À partir de cette nuit-là, je ne cessai de rêver à la bouche d'Élizabeth. Je chéris chacune de ses lettres d'amour où elle joua du ''honey''. Notre relation épistolaire permit à notre passion réciproque d'enflammer le platonisme de cette improbable relation secrète à distance, comme quoi la passion ne réside pas que dans la rencontre de deux corps... Tu l'auras compris cher perspicace et vif lecteur, je n'ai jamais revu la Cléopâtre de mon cœur... Élizabeth à jamais pour toujours, je t'ai aimé, je t'aime et t'aimerai.
Pardonne moi! Je t'embrasse!
P.S. Remarque que l'on parle toujours subtilement de moi dans tous les reportages sur Élizabeth, surtout les vieux où il est question de ses amours. Ouvre l’œil, tu y verras Flash Gordon
tain, c'était toa!!!
RépondreSupprimerj'aurais une confidence à faire à propos de richard, mais je ne me le sens pas. (les 100 pas, tourner sa langue dans sa bouche.)
sans compter qu'il connait big brother personnellement, et que ces gens sont assez succeptibles, je crois...
n'empêche qu'on s'était donc déjà croisés ailleurs que devant intermarché
tiens, écoute ce titre de musique :
http://www.youtube.com/watch?v=m842HLSOprA
merci de ta participation
Écoute petit, tu mélanges tout, c'était pas devant l'intermarché, c'était dans l'interzone pis on fuyait Burroughs qui voulait jouer à Guillaume Tell avec les pommes qu'on avait sur nos têtes...
RépondreSupprimerJe préfère Jaques Villeret à Pierre Richard.
Tiens prends ça dans la gueule:
http://www.youtube.com/watch?v=DQegc8uMEW8
elle est bretonne ?
RépondreSupprimerJe ne savais pas que Liz (malgré ce prénom impératif) savait écrire . Des souvenirs comme ça illuminent toute une vie.La mienne en à pris un coup: je te croyais plus jeune!
RépondreSupprimer@ pousterles 3
RépondreSupprimerils les mamelons ronds vive les bretons!
@ manouche
Élizabeth savait écrire et se vautrait dans une prose libertine hors du commun, elle en aurait fait rougir plus d'une. Je ne suis pas jeune, ni vieux, intemporel plutôt.
Alors, allons "danser chez temporel"...
RépondreSupprimerCertainement, si tu m'accordes la première danse! :)
RépondreSupprimerfaites chier avec vos gromots grotesqueZ comme un cinéma ambulant d'humains qui souffrent parce que leur mère les a mis au monde dans ce siècle de post-hitler en quête d'unne identité!!!
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=dyFypz1lya8
viEEEns, chery!!!
désespoir :
je suis désespéré d'être aussi desespéré rien que de te voir, comme ta robe fend le large dans la lumière du printemps pendant que MOA, je crains de me branler et de boire tout le temps
come un sous-homme harcelé par allah et le diable, la réthorique et tous les fous de l'enfer
+ bise
pi tiens, désespoir :
http://www.youtube.com/watch?v=Qmn-P4qbIwo
le droit à pas être heureux
branle toa et boa constrictor, pis essaie de goûter à de simples bonheurs...
RépondreSupprimerbise d'espoir
Y'a t'il une vie après la mort???
RépondreSupprimerFranchement je le souhaite mais j'ai du mal a croire....et Pourtant..
http://www.youtube.com/watch?v=kojCNQpNpJM
le bonheur, ça pue la cigarette juive alcoolique et pédophile, la preuve :
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=HyMgCLJWmLg
sans compter l'inceste!!!!
VIVE MARINE LE PEN!!!!
c'est elle ma maman, et pas cette pute de rainette!!! j'ai enfin trouvé un foie, yeah!
juste pour que tu fermes ta gueule pendant 5 minutes et deux secondes :
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=pAVhKjsImeI
merci
Écoute petit, calme toi le pompon. Tu t'es trouvé un foie, bien, mais l'as-tu utilisé comme on le ferait avec une putain de grenouille? Puis, s'il y a une vie après la mort, ne compte pas sur moi pour que je ferme ma gueule, t'as vraiment pas tiré le bon numéro. Je ne me tais et ne me tairai jamais.
RépondreSupprimertiens, prends ça en guise d'introduction à l'autre vie
http://www.youtube.com/watch?v=pY6IujVcu4Y
http://www.youtube.com/watch?v=PQifpp1xX-4
RépondreSupprimer;)
cher llluuuoooaaarrr,
RépondreSupprimerje te reconnais bien là!
yéa!
arrête un peu, bise, tiens :
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=lbq4G1TjKYg&feature=artistob&playnext=1&list=TLFRlOZKbsCK4
c'est juste une fan du di_able d'ame
et rik, comme dans ça, tsé, dancer :
http://www.youtube.com/watch?v=O9ip8bU4hfY
ou alors ça :
http://www.youtube.com/watch?v=jRN0omOHgLY
t'as misé cumbi1 au début, au fête ?
m'excuse pour le :
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=ZxyhHDhzcd8
de l'autre soir, pardon
jelefeuraie plus
heum
yes
accompagne moa dans mon délire de la puberté, chez ma mère, dans ce room qui pue le jus de foutre (arrêté de me branler depuis hier, j'entre dans les ordres!!)
RépondreSupprimerelle est ou anne archet, que je me marisse avec son cheveu noir d'espionne d'asie!!!
j'ai peur de mata hari, elle conduit une toyota dont les freins ont lâché!
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=RBTXC4lLZs0
"do your own thing" (jon spencer)
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=kA_dSBLp1A8
n'enculez personne, et tenez vous bien
SHIT!!!
http://www.youtube.com/watch?v=pisfsAuIoLU
on veut plus de cerveaux!
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=Frw7Gi5cAwY
le problème avec le cerveau, c'est que c'est relié au nerfs et aux succubes incontrolables de marchié
RépondreSupprimerallons, bonne nuit, PETIT :
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=B5aPhGQ0L9Q
ça te fait moins marrer d'aurénavrant, hm ? ton petit trip de perlouses vertes délaissées là autour de tes poigners par ta meuf exanguère, hm ?
raconte moi un peu ce que tu refoules en ce monument maime, vas-y, PETIT!
congis toa, on t'attends, birZeuXXX!