Virevoltant dans le tourbillon de la vie je n'ai pas pris le temps de te parler de ma soirée de samedi le 9 octobre dernier. Quelle soirée! J'y ai même fait un plein d'humanité, ça m'a fait un bien fou. Viens, je te raconte.
Mercredi dernier, revenant à la maison avec le Lutin, je me préparais à aller abreuver des étudiants avides de français quand ma charmante progéniture s'est mise à lire le titre du roman que je suis en train de lire. Hésitant sur la première syllabe il lut fièrement: Les corpuscules de Krause, Sandra Gordon.
- C'est qui ça Sandra Gordon, demanda mon héritage biologique.
- C'est la gardienne d'la cour à scrap! Elle a écrit un roman...
- Cool papa! Tu la connais!?!?!?
- Heu... Noui... genre... Mais là, papa a pas le temps de te raconter, on s'en reparle, ok? je te raconte demain.
- Ok papa! dit le Lutin en allant répondre à la sonnerie de la porte d'entrée.
La Patate Frite est arrivée et je suis parti. Avant d'aller plus loin dans cette laborieuse narration, je dois te dire que La Patate Frite est un de mes amis. Il porte ce surnom parce que son père opérait une roulotte à pétaks frites! Bon! Ceci étant clarifié, reprenons la route du 9 octobre 2010 à l'Absynthe. Les paramètres spatio-temporels sont clairs? Peu importe, on continue! Embarque on n'ira pas trop vite...
Samedi 9 octobre, je me sentais comme Jeanne d'Arc qu'on amène au bûcher. M'en allais rencontrer des gens que je connais sans connaître, que je fréquente par blogue interposé, dont je lis et apprécie l'humanité... Bref, le passage de la blogosphère au réel m'intimidait. J'avais des craintes baudelairiennes. Sortant du métro, je me dirigeais vers l'Absynthe me frayant un chemin dans la foule bigarrée sur la rue St-Denis. Fébrile, j'étais. Arrivé devant l'établissement licencié, j'en gravis l'escalier bien que ça avait l'air crissement mort. J'entrai timidement. M'installant au zinc et commandant une pinte, je tombai nez à nez avec ma ferrailleuse préférée!
- Salut Sandra! dis-je
- Salut Flash! T'es exactement comme je l'avais imaginé! Viens...
M'entraînant dans l'antre rougeoyante de l'Absynthe, Sandra Gordon m'amena au cœur d'une tornade d'humanité. Tourbillon de rencontres, d'accolades et de serrages de mains. Attention! Ça tourne! Mistral géant comme son œuvre, Venise ouverte et curieuse comme son blog accompagné par Marsi son sympathique conjoint, l'incroyable et généreuse Blue et son énigmatique mari, Maxime et son chum, Ivan qui n'a de terrible que le nom, Guillaume avec qui je partage une certaine colère et culture musicale, Nancy et Pascale, Samuel avec qui j'ai peu parlé, tout comme le discret Plumitif, le réservé mais allumé Stéphane et son amusant pote Frédéric... Bout de crisse! J'ai cligné des yeux pis c'était fini! Je n'ai pas eu le temps de parler vraiment à tout le monde présent, mais j'ai fait de belles rencontres, j'ai passé une excellente mais trop brève soirée. Je suis surtout reparti avec le réservoir à humanité bin full. En prime, j'avais dans la poche le roman de Sandra. Je me sentais comme un enfant le matin de Noël, haleine de bière en plus!
Merci! Je vous embrasse tous!
Tiens une chanson tourbillon, en écho à mes craintes baudelairiennes!
Je suis à lire le roman de Sandra, je t'en donne des nouvelles!
P.S. J'ose espérer que je n'ai oublié personne dans ce tourbillon, si c'est le cas, pardonnez moi, j'avais le cœur comme l'esprit pris dans la foule. Si je t'ai oublié, n'hésite pas à me laisser ton commentaire ou tes insultes.
- C'est qui ça Sandra Gordon, demanda mon héritage biologique.
- C'est la gardienne d'la cour à scrap! Elle a écrit un roman...
- Cool papa! Tu la connais!?!?!?
- Heu... Noui... genre... Mais là, papa a pas le temps de te raconter, on s'en reparle, ok? je te raconte demain.
- Ok papa! dit le Lutin en allant répondre à la sonnerie de la porte d'entrée.
La Patate Frite est arrivée et je suis parti. Avant d'aller plus loin dans cette laborieuse narration, je dois te dire que La Patate Frite est un de mes amis. Il porte ce surnom parce que son père opérait une roulotte à pétaks frites! Bon! Ceci étant clarifié, reprenons la route du 9 octobre 2010 à l'Absynthe. Les paramètres spatio-temporels sont clairs? Peu importe, on continue! Embarque on n'ira pas trop vite...
Samedi 9 octobre, je me sentais comme Jeanne d'Arc qu'on amène au bûcher. M'en allais rencontrer des gens que je connais sans connaître, que je fréquente par blogue interposé, dont je lis et apprécie l'humanité... Bref, le passage de la blogosphère au réel m'intimidait. J'avais des craintes baudelairiennes. Sortant du métro, je me dirigeais vers l'Absynthe me frayant un chemin dans la foule bigarrée sur la rue St-Denis. Fébrile, j'étais. Arrivé devant l'établissement licencié, j'en gravis l'escalier bien que ça avait l'air crissement mort. J'entrai timidement. M'installant au zinc et commandant une pinte, je tombai nez à nez avec ma ferrailleuse préférée!
- Salut Sandra! dis-je
- Salut Flash! T'es exactement comme je l'avais imaginé! Viens...
M'entraînant dans l'antre rougeoyante de l'Absynthe, Sandra Gordon m'amena au cœur d'une tornade d'humanité. Tourbillon de rencontres, d'accolades et de serrages de mains. Attention! Ça tourne! Mistral géant comme son œuvre, Venise ouverte et curieuse comme son blog accompagné par Marsi son sympathique conjoint, l'incroyable et généreuse Blue et son énigmatique mari, Maxime et son chum, Ivan qui n'a de terrible que le nom, Guillaume avec qui je partage une certaine colère et culture musicale, Nancy et Pascale, Samuel avec qui j'ai peu parlé, tout comme le discret Plumitif, le réservé mais allumé Stéphane et son amusant pote Frédéric... Bout de crisse! J'ai cligné des yeux pis c'était fini! Je n'ai pas eu le temps de parler vraiment à tout le monde présent, mais j'ai fait de belles rencontres, j'ai passé une excellente mais trop brève soirée. Je suis surtout reparti avec le réservoir à humanité bin full. En prime, j'avais dans la poche le roman de Sandra. Je me sentais comme un enfant le matin de Noël, haleine de bière en plus!
Merci! Je vous embrasse tous!
Tiens une chanson tourbillon, en écho à mes craintes baudelairiennes!
Je suis à lire le roman de Sandra, je t'en donne des nouvelles!
P.S. J'ose espérer que je n'ai oublié personne dans ce tourbillon, si c'est le cas, pardonnez moi, j'avais le cœur comme l'esprit pris dans la foule. Si je t'ai oublié, n'hésite pas à me laisser ton commentaire ou tes insultes.